Ce soir, ils étaient donc dans leur chambre en train de remplir leur mission un peu trop lentement à mon goût (comme d'habitude). Au bout d'un moment, je rentre dans leur antre et leur donne cinq minutes pour terminer.
Titine : Et dans cinq minutes, si on n'a pas fini ?
Moi : Mais vous aurez fini !
Titine : Sinon quoi ?
Moi : Pas de D&Co ! (et je sors)
Dans la chambre, c'est maintenant le branle-bas de combat et autant dire que ça déménage...
Titine : Allez, go, go, go ! On se dépêche !
Titi : Oui, go, go ! Ceci n'est pas un exercice ! Ceci n'est pas un exercice !
Doudou et moi, morts de rire dans la salle-à-manger. Cinq minutes plus tard, les enfants étaient à table et regardaient leur émission. Je remercie donc Buzz et son équipe de bleus pour les dialogues ; ça a le mérite de nous faire bien rire !
4 commentaires:
D&Co, l'émission du diable! Je ne peux plus la voir au Japon, mais je ferai le plein de bonnes ( et moins bonnes, les chambres d'enfants sont souvent à gerber...) idées en décembre!
sont trop chous, ^^
Pour les chambres d'enfants pur delire faut regarder les maçons du coeur, extrem makeover, c'est genial.
C'est adorable ! ^^
Je suis la seule ici a pas aimer D&Co, je crois. Je trouve qu'ils font du travail bacle.
J'aime bien D&Co, même si ça peut sembler baclé et si les chambres d'enfant font parfois froid dans le dos. Valérie D. a souvent de bonnes idées pour retaper des meubles ou donner un coup de jeune à des vieux trucs.
Mais c'est vrai que parfois, c'est à vomir... Il y avait une chambre la semaine dernière, le couple avait demandé style indien. Sauf que ça ne faisait pas un palais de maharadja mais à un restaurant pakistanais dont le patron est fan de films bolywoodiens. Ca fait bobo aux yeux ; j'en suis toujours pas remise.
Mais j'imagine que l'équipe parle avec les gens (plus que ce que l'on voit à la télé) et que le résultat correspond réellement à leurs goûts...
Pour en revenir aux enfants, ça reste un moyen de pression pour qu'ils rangent leur chambre le dimanche soir. Alors rien que pour ça, merci Valérie D. !
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